Fin collaborateur de l'UdeNap, Monsieur
Guy Paquin est né aux Trois-Rivières à la fin des années quarante
(ou au début des années cinquante) et il a fait des études.
Ses connaissances plus que certaines en histoire, ses
sévères mais toujours impartiaux jugements, ses interprétations de
certains passages de la Bible, son approche plus scientifique que littéraire,
nous ont été, depuis le début, d'un précieux secours.
Journaliste à l'emploi de la Gazette de
Saint-Romuald-d'Etchemin (et d'Esch-sur-Sûre), Monsieur Paquin est également
spécialiste dans le planning, la coordination et l'idéation de valeurs
conceptuelles et stratégiques.
C'est dans ce spécialisé créneau que nous retenons
depuis plusieurs années ses services pour mettre en place des mécanismes
d'optimisation d'objectifs tout en assurant une certaine continuité
dans le développement d'idées nouvelles, susceptibles de générer des
retombées associatives selon des plans bien établis.
"Ses plans quinquennaux, réalisables en
trois ans, disait récemment le Professeur Marshall, sont de
pures merveilles".
Noterons-nous au passage qu'il a été l'un des
premiers récipiendaires de l'Ordre de la Collaboration de l'Université
de Napierville et que, depuis le mois de décembre 2001, il est le récipiendaire
d'un doctorat honorifique de la même université ? - Nous le noterons :
Il a, en effet, reçu ce prix suite à un article
publié le 3 août de l'an 2000 (dans le supplément du vespéral
quotidien précité) en rapport avec la lutte que menait alors
l'Institut de Pointe-aux-Trembles contre la sur-utilisation des hiatus,
tant dans les communiqués officiels que dans la correspondance inter-départementale
de la Ville de Coaticook.
Également inventeur de l'ornithologie sous-marine
(son scaphandre au sphincter filtreur a été noté de façon favorable
dans les rapports de la British Society of Something), chimiste
à ses heures ("Breadcrums and their Interaction With Barley
Soup" - Presses de l'UdeNap - 1991) et fin observateur
d'hippocampes, Monsieur Paquin rédige présentement une biographie de
Frontenac (Voir, sous peu, à [Histoire de] Napierville) dans laquelle
il essaie de démontrer que William
Shakespeare, malgré sa bonne volonté, n'a jamais su vanter adéquatement
les bienfaits du colonialisme.
À sa demande, nous joignons ici une photo d'Adolphe
Menjou et une de... Roy Orbison (sic).
