Philosophe de formation mais littéraire
de métier, Madame Fion D'Arbon Van Maercke, est une personnalité fort
connue et très active dans les milieux des arts visuels internationaux
et de la littérature jeunesse européenne francophone (langue originale
et traduction).
Elle a dès son plus jeune
âge pris part à des études sociologiques de terrain dans le
milieu underground actif des amateurs de littératures,
films et séries de genre, ce qui lui permit d’être invitée à leur
gala caritatif annuel. Ces thés dansants fourmillant de mannequins de
costume de joueurs, chanteurs et comédiens, enrichirent considérablement
ses expériences culturelles, au même titre que ses infiltrations à
but scientifique dans le monde de la lutte simulée en spandex coloré
et ses voyages intra-européens et transatlantique.
Chercheuse indépendante,
elle s'est beaucoup questionnée sur la place des arts visuels dans la métaphysique
de la littérature appliquée et a travaillé intensivement sur la vérité
de la fiction dans les récits virtuels de voyage.
Auteur d'un grand nombre
d'articles relativement impénétrables pour des revues internationales
italiennes, françaises, belges et québécoises, ainsi que quelques
communiqués de presse sibyllins pour plusieurs galeries et lieux d'art,
encourageant divers artistes internationaux, elle a contribue largement
à asseoir la réputation de «Petite Berlin de la Saxe» de la
ville de Leipzig.
(Précisions qu'elle a, en
2015, participé à la mise en place d'un lieu d'art dans une ruelle
d'Hochelaga, dans le quartier Maisonneuve de Montréal.)
Elle poursuit présentement
des études post-doctorales sur un sujet lié à l'importance de la référence
inadaptée et incongrue dans le texte critique d'arts visuels, ainsi que
son influence sur les institutions québécoises et européennes,
Sa thèse pré-doctorale
sur L’inculture généralisée chez les marchands d’art
aujourd'hui : de la pertinence des références bizarres et
amusantes dans les textes critiques en art contemporain, ou de la
causalité inversement proportionnelle entre la publication d’un texte
critique et sa sophistication éprouvée, a déjà fait l'objet de
critiques dithyrambiques de la part de ses professeurs et collègues.
Fiona Darbon Van Maercke
est présentement adjointe à un des professeurs de la Faculté des
Archives de l'Université de Napierville qui étudie la
possibilité de la nommer "titulaire exceptionnelle"
dans un un autre "département" (à créer), celui de
l'"Art, de l'esthétisme et de la muséologie".
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