Classique, romantique, réaliste et poétique, il fut un des grands inspirateurs de
Mozart (Pas l'Amadeus, l'autre).
Son Portrait équestre d’un officier de chasseur à cheval
de l'armé de Napoléon suivi de son Cuirassier blessé quittant le feu démontrent sa fidélité et son goût pour la stabilité
politique :
Son Radeau de la Méduse, (voir
ci-dessus) pour lesquels les onze frères Marshall ont posé (en 1819) est son oeuvre la plus connue.
Parmi ses derniers tableaux, Le fou assassin mérite moins de considération.
Deux toiles, projetées, la Traite des noirs et l’Ouverture des portes de l’Inquisition, auraient été complétées par le Grand Mozart, lui-même (lien ci-dessus).
Note : on confond souvent ce peintre avec
Eugène Carrière.

Le tombeau de Géricault
au Père-Lachaise