Responsable du sous-site sur la
chanson française de l'UdeNap, Paul Dubé s'intéresse également à la musique traditionnelle du Canada Français,
aux British Dance Bands,
aux quatuors à cordes de Beethoven, à John Cage, aux plantes d'intérieur
et aux casques militaires de l'armée coloniale anglaise. Ilollabore au site de l'UdeNap depuis sa fondation.
Il se dit traditionaliste mais ne dit pas de
quelle tradition.
Né à Québec, en 1942, d'un père steamfitter et
d'une mère cousine des fameux Caseault de Limoilou, Paul a fait des études
en théologie dogmatique, a enseigné (deux semaines), a beaucoup voyagé puis
est devenu, presque par hasard (comme il le dit lui-même), un expert dans
divers domaines dont celui de l'assurance. Parcourant l'Amérique du Nord,
examinant des trains déraillés ici, des bouts d'avion là, des bâtiments, des
antennes, des usines endommagées par la foudre, l'incendie, la grêle et autres
risques plus ou moins naturels, il se rend régulièrement en Europe (Londres,
Paris, Bruxelles et certaines parties de Clermont-Ferrant) pour y dénicher ces
titres rares dont les amateurs de vieilles chansons, de vieux films et de
vieilles photos deviennent les bénéficiaires sur le site de l'UdeNap.
Il demeure à Montréal (Québec) - non pas à vingt
minutes de Montréal mais à Montréal - et ce, depuis plusieurs
années mais aussi, à l'occasion, à Paris, Londres, Newark (New Jersey),
Kujuarapek, Wichita et West Mifflin (Pennsylvanie) et possède une collection
de livres, journaux, petits formats, disques, CD et photos qui font l'envie de
plusieurs spécialistes. Il dit à ceux qui veulent l'entendre qu'il vaut mieux
s'intéresser à quelque chose de futile plutôt que de regarder les nouvelles
télévisées où l'on parle, depuis des années (poursuit-il) de pourparlers de
paix au Moyen-Orient ou de la dévaluation du Zloty polonais (ou pire, encore :
de politique).
Monsieur Dubé s'est vu décerné, en l'an 2000, un doctorat honorifique par l'Université de Napierville pour l'ensemble de son oeuvre.
Ses chroniques sur la musique en
général paraissent régulièrement dans Le Castor™ de
Napierville (adresse ci-dessous).