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Le Castor de Napierville™ - Équipe originelle

Une équipe exceptionnelle

 


Au premier rang, de g. à d. : Palmyr de Saint-Étienne, Robert Lesage, Gonzague Nolet, Claude Poirier

Debout, dans le même ordre : Uldéric Savard, Joseph L'Archevesque, Jaypee Paré, Hercule Poisson, Amédé Gravel, Fred Gingras

Au fond, à gauche : Théophile Morribond.


Palmyr de Saint-Étienne

Descendant d'une famille noble de la Loire-Atlantique, Palmyr de Saint-Étienne, né Palmyr de Saint-Étienne-de-Monluc, fut, pendant plusieurs années un des chroniqueurs mondains de tout premier ordre, ayant ses entrées dans les grandes familles de la région immédiate de Napierville. - Il fut aussi le premier rédacteur des horoscopes publiés dans le Castor. - On lui doit, en outre, un Dictionnaire étymologique raisonné du tinifar ancien et de la langue des Kel Ahaggar suivi de notes sur les rimes dialectales lybiennes du Ve au Xe siècle. Presse de l'Université de Napierville, 1908, 18 pages.

Robert Lesage

Robert Lesage, originaire de Lévis (Québec) fut, pendant longtemps, spécialiste des questions religieuses, étant le seul du groupe ayant déjà vu un pape.

Gonzague Nolet

Gonzague Nolet, dit «Nolet-le-manchot», fut longtemps le plus versatile de tous les chroniqueurs politiques du Castor. - Son habilité pour changer d'allégeance politique à l'intérieur d'un même paragraphe lui valut un deuxième surnom, celui de «Shifty».

Claude Poirier

À la chronique judiciaire, Claude Poirier n'a jamais été égalé. On lui reprochait parfois d'utiliser un langage particulier (ex. : les juges ne «tranchaient» pas mais «se tranchaient») mais son sens de la demi-mesure, ses dons d'ubiquité et ses prises de position étaient respectés de tous.

Uldéric Savard

Emprisonné à plusieurs reprises pour avoir tenté de ramener de l'ordre dans différents débits de boisson, Uldéric Savard dit «Le géant», fut néanmoins un chroniqueur gastronomique de tout premier ordre. - Il finit sa carrière député libéral après avoir changé de nom.

Joseph L'Archevesque

Joseph L'Archevesque fut surtout impliqué dans le domaine de l'éducation et des sports. Ses démêlées légendaires avec la justice firent l'objet d'un fort volume, posthume, intitulé «Pourquoi j'ai toujours aimé les jeunes» (à compte d'auteur).

Jaypee Paré

Fils et petit-fils d'ouvriers, Jaypee Paré fut mêlé à tous les mouvements syndicalistes de son temps. Ses connaissances en statistiques sont légendaires.

L'Institut de l'Université de Napierville reliée à cette science porte aujourd'hui son nom,

Hercule Poisson

Médecin-poète, [Joseph Edmond] Hercule Poisson fut le responsable, pendant longtemps, du secteur de la santé et de l'alimentation au Castor. - On lui doit, outre de longs entrefilets où il est question de beurre d'arachide et de canard confit, une série d'articles sur le pain à la viande et plusieurs recettes de ragoût de pattes.

Amédé Gravel

Amédée Gravel dont on n'a jamais su au juste le nombre d'années qu'il avait passées sur les bancs d'école s'occupa surtout de politiques municipales et de règlements de zonage. - On lui avait également confié les préparatifs pour l'éventuelle venue du Président des États-Unis à Napierville.

Fred Gingras

Fred fut un chroniqueur sportif de tout premier ordre. Ses commentaires faisaient l'objet de violents débats dans les bars des environs. (Voir à Uldéric Savard)

Théophile Morribond

Concierge et fusilleur à temps partiel ( régiment des zouaves de Saint-Romuald-d'Etchemin), Théophile Morribond ne faisait pas directement partie des premiers journalistes du Castor. Il apparaît sur ce cliché parce qu'on lui avait confié, ce matin-là, l'ouverture et la fermeture de la salle des nouvelles.


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